Mardi 7 mars à 20h, au cinéma Opéra, projection du très beau film canadien Incendies de Denis Villeneuve (2010/2h03) tiré du roman et de la pièce de Wajdi Maouwad.
L’histoire est inspirée de celle de Soha Bechara, chrétienne orthodoxe devenue communiste, qui tenta d’assassiner en 1982 le chef de la milice chrétienne alliée à l’armée israélienne qui occupait le sud du Liban, mise au secret et torturée pour cela,
Soirée organisée par le Comité de soutien à Georges Abdallah de LYON avec le soutien du Collectif 69 Palestine. en présence de Soha Bechara.
Cinéma Opéra ; 6 Rue Joseph Serlin, 69001 Lyon
Entrée 7 euros/5.5 réduit
A la lecture du testament de leur mère, Jeanne et Simon Marwan se voient remettre deux enveloppes : l’une destinée à un père qu’ils croyaient mort et l‘autre à un frère dont ils ignoraient l’existence.
Jeanne voit dans cet énigmatique legs la clé du silence de sa mère, enfermée dans un mutisme inexpliqué les dernières semaines précédant sa mort. Elle décide immédiatement de partir au Moyen Orient exhumer le passé de cette famille dont elle ne sait presque rien…
Simon, lui, n’a que faire des caprices posthumes de cette mère qui s’est toujours montrée distante. Mais son amour pour sa sœur jumelle le poussera bientôt à rejoindre Jeanne et à sillonner avec elle le pays de leurs ancêtres sur la piste d’une mère bien loin de celle qu’ils ont connue.
Jeanne voit dans cet énigmatique legs la clé du silence de sa mère, enfermée dans un mutisme inexpliqué les dernières semaines précédant sa mort. Elle décide immédiatement de partir au Moyen Orient exhumer le passé de cette famille dont elle ne sait presque rien…
Simon, lui, n’a que faire des caprices posthumes de cette mère qui s’est toujours montrée distante. Mais son amour pour sa sœur jumelle le poussera bientôt à rejoindre Jeanne et à sillonner avec elle le pays de leurs ancêtres sur la piste d’une mère bien loin de celle qu’ils ont connue.
A propos du film
Incendies est l’adaptation à l’écran de La femme qui chante », pièce du libanais naturalisé canadien, Wajdi Mouawad.
Dans la pièce qui fait partie d’une trilogie comprenant trois œuvres-Littoral, Incendies, Forêts– l’auteur évoque la difficulté de l’exil, lui qui a été contraint d’abandonner le Liban alors qu’il n’avait que huit ans.
La pièce ne fait aucune mention d’un lieu précis où se déroule l’intrigue, on sait juste qu’il s’agit d’un pays du Moyen-Orient. Le tournage s’est déroulé en Jordanie mais le réalisateur a respecté le flou inaugural: « Beyrouth ou Daresh ? Cette question m’a hanté durant toute l’écriture du scénario. J’ai finalement décidé de faire comme la pièce et d’inscrire le film dans un espace imaginaire comme Z de Costa Gravas afin de dégager le film d’un parti pris politique. Le film traite de politique mais demeure aussi apolitique. »
Catégories :Séance Spéciale
J’ai adoré ce roman ! Très belle histoire. J’ai hâte d’être au 7 mars pour visionner le film !
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